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Identité numérique : le contrôle social des masses en marche

Dernière mise à jour : 18 janv. 2022



Le projet se dessine un peu plus chaque jour, l’identité numérique et le contrôle social des masses est l’arme absolue des gouvernements pour demain.


Développé et vanté par la Chine qui l’applique sur son peuple, chaque individu est numériquement tracé et contrôlé grâce à son smartphone et une application officielle, et ce, par un système de notation. Le citoyen qui agit « bien » aura des avantages (meilleur prise en charge de santé, meilleur chance d’évoluer socialement, meilleur place pour les enfants dans les écoles, meilleur chance de pouvoir voyager ou de pouvoir assister à un spectacle, etc.) et le citoyen qui agit « mal » se verra perdre tous ses avantages, voir sanctionné. La notion de bien et de mal étant dicté par le pouvoir politique. Pendant l’épisode COVID, les citoyens chinois avaient un système de couleur vert ou rouge en fonction de leurs quartiers de résidence et des personnes ayant des symptômes dans leur voisinage. Chaque entreprise, administration ou centre commerciale en plus de caméras thermiques, avaient un QR code qu’il faillait scanner à l’entrée et parfois même à chaque étage et chaque bureau et qui indiquait par la couleur verte si on avait le droit ou non par la couleur rouge, d’y accéder. La mesure de contrôle va même plus loin, car la surveillance vidéo a été développée a un tel point que la reconnaissance faciale en agglomération surveille les faits et gestes et peut augmenter ou dégrader la notation des citoyens.


Lors de l’un de ses discours télévisé pendant le confinement, Macron nous l’avait promis « le monde d’après ne sera plus le même que celui que nous avons connu... » Sous cette phrase énigmatique en forme de teasing nous aurions pu croire que le sujet porterait sur l’écologie, la souveraineté ou encore une façon différente d’aborder l’économie, mais il fallait comprendre que le monde d’après c’est un monde sous contrôle numérique des populations...


Des populations, car ça ne s’arrête pas à la France, nous sommes bien ici dans un projet globaliste et c’est bien le monde qui est concerné. Le modèle chinois a séduit d’autres pays, états et œuvrent à la mise en place de ce projet, qui bien que liberticide, va certainement trouver un énorme succès.

Tout le problème résidait dans l’acceptation de ce modèle. Pour faire accepter ce contrôle social et faire taire les libres penseurs, qui aurait invoqué les libertés fondamentales, il était nécessaire d’appliquer une stratégie de choc pour que la population accepte de perdre des libertés. Le terrorisme avait déjà œuvré à conditionner les gens dans une forme de peur mais n’ayant pas réussi à être ce facteur de choc, il fallait absolument trouver un moyen d’affaiblir psychologiquement les populations.


Quoi de mieux que des techniques de torture psychologique pour arriver à ce résultat. Le but n’a pas été de faire un coup d’éclat comme le terrorisme a pu le faire pour instaurer la peur. La stratégie cette fois-ci est plus subtile, petit pas à petit pas. Cela commence par de la communication sur un virus inconnu, très mortel, sans aucun traitement, qui a mis certaines régions de Chine sous cloche. Il est intéressant de voir que ce virus vient d’un pays qui se soucie très peu du destin de sa population, que les mesures qui ont été prises comme le confinement généralisé n’a jamais été historiquement appliqué, ni appliqué à l’ensemble des pays asiatique (car ceux là ont déjà un système de traçage de leur population) la logique historique préférant mettre en quarantaine les personnes malades. De plus la Chine avec les avancées technologiques qu’elle a, savait très bien pouvoir isoler les malades et les tracer numériquement avec leur moyen de contrôle social des populations, comme nous l’avons vu.


Les divers gouvernements du monde qui ont toujours critiqué le régime politique chinois, ont bizarrement décidé pour une fois, d’appliquer les mêmes mesure que la Chine, c’est-à-dire de confiner les populations. Il est d’ailleurs intéressant de voir que les pays et les états d’Amérique ayant appliqué le confinement généralisé ont tous ce projet de contrôle social par l’identité numérique.


Il fallait donc créer un sentiment d’isolement avec des règles de sorties strictes et répressives, n’avoir comme informations qu’un égrainage quotidien des morts en France et dans les autres pays confinés et voisins, des messages contradictoires sur les traitements, sur les masques, sur les tests. Tout cela s’apparente aux prisonniers que l’on isole et que l’on conditionne en créant un environnement anxiogène, pour qu’ils donnent soit des informations, soit pour créer le chaos mental et en faire des soldats de la cause.

C’est donc par la confusion, la désinformation, les interventions officielles présidentielles et l’isolement qui ont contribué à créer une nouvelle réalité, celle d’un monde de peur où il n’y a aucun espoir.

La fin du confinement a été une phase beaucoup plus perverse encore, car une fois le peuple dans l’incertitude, dans la chaos mental, d’autres règles liberticides ont petit à petit été dictées. Les gouvernements ont pu voir à ce moment-là, le nombre de personnes dociles et ceux qui montraient encore des signes de résistances. C’est ainsi que les mesures sont devenues de plus en plus liberticides, de plus en plus répressives et de plus en plus anxiogènes avec la menace toujours présente de retourner à l’isolement. Pour savoir si les petits soldats qui ont rejoint la cause fonctionnent, des sondages ont été commandés, et des messages tels que « le virus circule toujours », « trop de personne ne font pas d’effort » ou « encore le vaccin ne verra peut-être pas le jour », ont créé des tensions mentales de telle sorte que la moindre personne qui n’obéit pas est un ennemi, et doit être dénoncé.


S’ajoute à cela des messages du ministre de la Justice, qui souhaite que l’anonymat sur internet soit interdit. Les pseudonymes représentant bien évidemment un danger car on ne peut savoir qui se cache derrière. Cela ne sont que des annonces pour habituer le peuple à l’idée que cela serait bien que ce type de pratique n’existe plus.

Il y a une relance des tensions communautaire, avec une inaction de la police dictée par le ministère de l’intérieur, le but étant de créer un climat d’insécurité qui pourrait très bien être réglé par une surveillance vidéo avec reconnaissance faciale ou par un traçage numérique grâce à une application non désinstallable dans chaque smartphone par exemple.

Le ministre de la santé qui souhaite que les Français adhèrent à une application de traçage COVID car "c’est le seul moyen de savoir si on est exposé ou non".

Et enfin le président qui souhaite que la France évolue en adoptant des technologies puissantes et novatrices comme la 5G et ne reste pas bloqué au temps des amish... (mais qui en même temps ferme des centrales nucléaires, pour rouvrir des centrales à charbon…)


Toutes ces tensions, toute cette peur distillée depuis des mois petit à petit dans l’esprit des gens, toutes ces annonces trouveront bientôt une issue.

Les gouvernements proposeront bientôt deux solutions à leur population apeurée et aux personnes qui résistent mais qui commencent à être fatigués, un vaccin bidon et une application mobile où toute leur vie sociale, administrative et sanitaire sera sauvegardée, ce qui leur permettra ainsi de se libérer du masque, de pouvoir se déplacer de région en région et de voyager dans les pays où ces mêmes critères seront appliqués, de pouvoir consommer avec ou sans restriction, de pouvoir être en sécurité sur internet, de pouvoir être en sécurité dans la rue, etc.

Quand ces solutions, seront proposées, la majorité des peuples y adhérerons, car cela représentera soit le seul espoir pour certains, soit l’abandon de la lutte, par lassitude, pour d’autres. Seuls quelques opposants seront encore présents et ils seront vite identifiés, fichés, peut-être même emprisonnés ou oppressés administrativement, pour qu’ils finissent soit eux aussi par y adhérer, soit que cette minorité soit d'une manière ou d'une autre contrôlée.


Nous ne sommes pas dans un complot, nous sommes dans un plan commercial et politique. C’est le pouvoir absolu ! La meilleure façon de savoir ce que les peuples pensent et doivent penser, ce que les peuples consomment et doivent consommer, ce que les peuples font et ce qu’ils devront faire pour être dans le « bien », qui sont les opposants pour pouvoir les neutraliser le plus vite possible. Ce plan a été vendu par la Chine il y a peu de temps, le président chinois à fait une tournée mondiale pour vendre ce plan qui répond parfaitement aux désirs de contrôle social que les politiques des divers pays souhaitent depuis longtemps.


[Note du 9/12/2021 - Article du 23/09/2020 écrit sur mon autre blog https://gildenice.blogspot.com/2020/09/identite-numerique.html ]


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